La vie est belle 

et il faudrait que je le croie...

13.10.08 #
savourer un thé parfumé.

12.10.08 #
regarder les parisiens lire sur les chaises métalliques du jardin qui entourrent les bassins et les pelouses.

11.10.08 #
rire avec mes amis.

30.9.07 #
retrouver un morceau au hasard d'un album qui traine.

27.9.07 #
les (mini) danettes chocolat orange.

26.9.07 #
l'odeur de la campagne après la pluie.

24.9.07 #
croquer des bonbons en écoutant les présentations.

24.9.07 #
retrouver sans y penser le bon wagon pour ma correspondance.

23.9.07 #
découvrir de nouvelles vues des monuments de Paris.

18.9.07 #
prendre un, deux jours de congés juste comme ça, juste parce que l'idée m'est venue.

16.9.07 #
le gonflant de mon nouvel oreiller.

10.9.07 #
finir ce que j'étais en train de faire avant de perdre l'énergie, même si ça me fait rentrer tard.

9.9.07 #
prendre les nuages en photo.

18.7.07 #
quand les choses marchent correctement.

Or avec un ordinateur portable verrouillé de tous les cotés où il peut être bloqué et un réseau sans fil sécurisé, je ne peut pas dire que ça soit une situation où les choses marchent.

13.6.07 #
boire une tisane le soir.

1.6.07 #
quand la fin d'une journée merdique approche.

27.5.07 #
qu'on me respecte.

J'ai rencontré hier B. J'avais fait le déplacement pour, nous avions échangé quelques mots au téléphone, j'avais lu quelques mois de son weblog.
En arrivant, je l'ai reconnu. A sa photo, et parce que c'est toujours facile de repérer une personne qui en cherche une autre, d'autant plus quand la place est quasi déserte.
Et puis nous nous sommes trouvés face à face. Et j'ai senti son regard me jauger de haut en bas.
Si je n'ai pas tourné les talons, c'est parce que j'avais ensuite rendez-vous de l'autre coté du boulevard, et qu'il n'y avait rien à faire dans ce quartier.
Je le regrette.
Car ensuite le dialogue ne s'est pas vraiment installé.

Monsieur B. vous êtes un goujat, et j'avais besoin de le dire.

8.3.07 #
recevoir des nouvelles des personnes que j'apprécie.

29.12.06 #
raconter des bétises.

Je voudrais fuir, repartir de zéro.
Mais je suis mauvaise à ce jeu là. Pas assez forte pour ne pas retober dans les mêmes travers.
Certes j'ai appris à plus faire confiance et mieux laisser une chance. Certes je sais mieux tenter de rencontrer des gens. Mais je suis trop tétues pour que ça passe bien.

Je ne veux pas partir, je veux rester.

2.9.06 #
recevoir un message comme d'outre-tombe.

Et j'aimerais qu'il ne soit pas un "accident".

5.8.06 #
perdre pieds dans les vagues qui m'entrainent et poussent le maitre nageur à venir au bord de l'eau nous surveiller au lieu de demeurer à l'abris du vent dans sa cahute.